ETM - Empowering ToMorrow's generation

Conformément au principe « Leave No One Behind », ce projet cible les enfants et jeunes les plus vulnérables et marginalisés, dont les droits fondamentaux sont systématiquement violés, ainsi que leurs familles et communautés. Parmi ces bénéficiaires figurent des enfants des rues, orphelins, prostitués mineurs, filles-mères, victimes d’abus, de violences, de maltraitances ou de rejets, ainsi que des enfants accusés de sorcellerie, victimes de conflits, de trafic humain, malades ou en situation de handicap. Nos centres d’accueil leur offrent un refuge sûr, une alimentation de base, des soins médicaux, mais surtout un accompagnement personnalisé pour leur réinsertion familiale et une formation adaptée pour leur réintégration dans la société. Impact et chiffres clés : 3 850 enfants en situation de rue, dont 1 940 filles et 1 910 garçons âgés de 0 à 25 ans, bénéficient de nos services. Les jeunes vulnérables (15-25 ans) privés d’accès à une éducation formelle dans les villes de Kinshasa, Goma, Bukavu et Uvira reçoivent un soutien particulier. Nos infrastructures incluent 4 centres d’accueil à Kinshasa, 7 centres de formation professionnelle dans les quatre villes cibles, et un appui direct à 500 femmes chefs de famille. 12 200 membres des communautés locales à Kinshasa et au Kivu sont sensibilisés sur des thématiques essentielles telles que les droits de l’enfant et les lois protectrices. Objectifs du projet : Renforcer la résilience et la protection des enfants en situation de rue et des jeunes vulnérables à travers une prise en charge holistique et multidimensionnelle. Réinsérer durablement les enfants dans leurs familles biologiques, dans des familles d’accueil, ou leur permettre d’atteindre une autonomie complète. Former les jeunes vulnérables à des métiers et à l’entrepreneuriat, afin de leur garantir un emploi rémunéré ou les outils nécessaires pour lancer leur propre activité. Sensibiliser les communautés locales aux droits de l’enfant, aux lois contre le travail des enfants et aux mécanismes de protection en vigueur en RDC. Renforcer les capacités des partenaires locaux pour assurer des interventions plus efficaces et efficientes. Vision : Le projet vise à transformer la vie des enfants et jeunes vulnérables en RDC de manière significative et durable. En facilitant leur réintégration scolaire, socio-professionnelle et familiale, tout en impliquant activement leurs communautés, il s’agit de créer un environnement où chaque enfant a une chance équitable de réussir et de contribuer à la société.

L’ONG Virlanie Foundation, fondée en 1992 par le Français Dominique Lemay, vient en aide aux enfants des rues de Manille. ETM collabore depuis de nombreuses années avec cet organisme. Depuis quelques années, une ferme a été construite sur l'île de Negros pour autonomiser une trentaine d'enfants handicapés. La première résidence et la deuxième sont totalement achevée. Ce début d'année 2024 deux fois 10 garçons se sont installés. Aujourd'hui les 10 filles venant de Manille vont les rejoindre. Il faudra compléter l'équipe éducative et médicale pour pouvoir mieux les encadrer.

Izimanga ze Africa (Les merveilles de l'Afrique) est une ASBL sud-africaine fondée en mars 2022 par un Belge et deux Sud-Africains. Son objectif est de soutenir de jeunes entrepreneurs issus de milieux économiquement défavorisés dans le développement et le lancement de leurs projets via un programme de mentorat.

Votre contribution permettra le bon fonctionnement du programme de mentorat, y compris l'organisation d'un camp d'aventure et de leadership, l'organisation d'un sommet annuel pour les mentorés et les mentors et le soutien financier des jeunes entrepreneurs.

"Depuis plus de 30 ans La Casa Oaxaqueña a démontré qu'apprendre peut être un vrai plaisir, un amusement, et ouvrir la porte sur des réalités insoupçonnées dans des petits villages du sud du Mexique 

A l'heure actuelle, par un système de parrainages, nous soutenons financièrement les études de jeunes issus de familles aux revenus très modestes, qu'ils ou elles soient en secondaires ou à l'université. 

Nous souhaitons offrir un voyage à Bruxelles à trois jeunes adultes qui, enfants, ont participé aux activités de La Casa Oaxaqueña et qui, à l'heure actuelle, travaillent dans un secteur qui correspond aux études supérieures qu'ils ont réalisées grâce au soutien de La Casa Oaxaqueña. 

En septembre 2025, nous comptons organiser à Bruxelles un événement lors duquel ils présenteront leur parcours scolaire depuis l'enfance jusqu'à ce jour. Véritables porte-paroles du projet, ce sont eux qui, aujourd'hui, bénévolement, permettent à des jeunes de leur région de continuer leurs études par un accompagnement adéquat.

Permettre à ces trois jeunes adultes de venir en parler à Bruxelles permettra d'une part de rendre tangibles et vivants les résultats de la générosité des marraines et des parrains, et d'autre part, permettra d'encourager de nouvelles personnes à parrainer d'autres étudiants."

Cette année, nous avons également soutenu des familles vulnérables en distribuant des paniers de nourriture dont elles avaient grand besoin. La soupe populaire de la communauté touche 50 familles dans le besoin tous les mardis. Le pays tente toujours de se remettre du démantèlement des organisations sociales au cours des dernières années. Nous sommes encore loin d'avoir franchi le seuil de pauvreté. 
Nous sommes confrontés à des problèmes liés à la réalité dans laquelle vivent ces enfants. De vieilles maladies réapparaissent : oreillons, varicelle, dengue (moustique Aedes Aegypti), vers et, actuellement, un grand nombre d'enfants autistes sans réponse claire.  
Selon la loi municipale, nous devons inscrire les enfants souffrant de maladies mentales et comportementales, et c'est à l'institution de fournir des soins cliniques à ces enfants (ce qui nous est impossible car les salaires des professionnels de la santé mentale sont très élevés). 

Depuis huit ans au Burkina, la terreur des bandes armées djihadistes, les soi-disant Sahelmilities de l'État islamique et d'Al-Qaïda, sévit au Burkina, attaquant les villages, tuant les civils, pillant le bétail, fermant les écoles et les centres de santé et obligeant des milliers de familles à fuir, on ne sait pas pourquoi. La ville provinciale de Kaya, où se trouve le village de notre projet Bangrin, compte près de 200 000 réfugiés internes, le plus grand nombre du pays, qui survivent dans des camps de réfugiés de l'aide humanitaire.  Des centaines d'enfants déplacés de ces villages vidés de leurs écoles se sont inscrits à l'école secondaire de Bangrin ces dernières années. 

La deuxième raison de l'augmentation du nombre d'élèves est que cette année scolaire 2023-2024, le lycée pourra enfin commencer l'année dite du BAC, la septième année qui conclut les études secondaires. Notre partenaire local, l'ADS (Association pour le Développement Social de Bangrin), a fait tout son possible pour agrandir l'école d'une année supplémentaire chaque année scolaire jusqu'à ce que le cycle complet de l'enseignement secondaire soit achevé. Cela signifie encore plus d'élèves, d'autant plus que le nombre d'élèves par classe au lycée est limité par le gouvernement à 65, ce qui est bien sûr beaucoup. Cette année scolaire, 731 élèves sont inscrits. Les quatre premières années de la première et de la deuxième année sont nécessairement divisées en trois classes A, B et C de 65 élèves, voire plus. En troisième année, il y a 40 élèves dans les classes A et B ; enfin, l'année du BAC compte 20 élèves.

Projet en Inde qui permet aux filles d'aller à l'école.

Plus de 800 élèves de zone rurale et isolée ont accès à une scolarité de qualité.

Appui financier aux 37 enseignants pour donner des cours de qualité.
Mise sur pied d’une évaluation individuelle des professeurs . 
Parrainages des professeurs dans le domaine de la formation continue. 
Appui au développement de la bibliothèque de l’école. 
Fourniture d’ordinateurs pour la classe d’informatique.

Par année, 160 Enfants de 3 à 7 ans, enseignement maternel et 2 années de primaire. Ecole inclusive : prise en compte de leurs singularités et de leurs besoins éducatifs particuliers, (notamment l’accueil d’enfants porteurs du spectre de l’autisme). Plus de 50.000 depuis 50 ans
 dispenser une éducation de base aux stades de la petite enfance et de l'enseignement primaire : éveiller chacun à la santé, la vie familiale et sociale, l’environnement, la culture, les langues, le travail, les loisirs, la science et la technologie.

 Apprentissage scolaire progressif calcul, lecture, Psychomotricité, jeux d’équipe, de coopération, danse, chants, événements liés au calendrier (saisons, fêtes civiles et religieuses…), à la culture nordestine, moyens d’expression, vie sociale, gestion des déchets…..

-        Accès à l’enseignement pour les enfants défavorisés

-        64 enfants alphabétisés poursuivent leur scolarité en primaire.

-        Intégration de 4 enfants porteurs du spectre de l’autisme

-        Soutien à 1 enfant atteint d’un cancer.

Le projet de créer un Home pour jeunes avec besoins spécifiques a été lancé en 1996 par Emmanuel Delaplace, un volontaire français. Il a été très touché par le nombre important de jeunes avec des besoins spéciaux dans les différents homes de Virlanie Foundation. Un Home est alors créé spécifiquement pour eux et en mai 2008, avec l’aide de ETM, c’est Jade home qui est ouvert à Dasmarinas City (à 1h de route de Manille). Actuellement une équipe de 13 personnes est mobilisé pour encadrer ces jeunes. En 2023, le foyer Jade a pris en charge 30 enfants et jeunes adultes en situation de handicap (20 garçons et 10 filles), principalement avec une retard mental et quelques jeunes IMC et/ou hémiplégiques ; tou.te.s sont en résidence dont 1 jeune fille qui est parfois internée au National Center for Mental Health (NCMH). Puisque son comportement est instable, elle est suivie de près cette année afin de prévenir une éventuelle rechute. 

Notre Asbl Coup de Pouce soutient au Congo RD depuis bientôt 2 décennies des micro-projets dans les domaines sociaux (réinsertion d'enfants de la rue à Kinshasa), éducatifs au sens large, micro-entrepreneuriaux et de protection de l’environnement (apiculture, couture et stylisme, fabrication de serviettes hygiéniques lavables, économie circulaire et agroécologie). Depuis 2010, le centre parascolaire Green Mango construit au village Poleni (Katanga, RDC) avec la vente du livre (3.000 exemplaires) des 20 ans de photographie de Gigi Grasso organise des activités et loisirs éducatifs (alphabétisation digitale, théâtre, chant, sport, documentaires) pour des centaines d’enfants, jeunes et adultes. En Europe, nous contribuons à la promotion de la philanthropie à impact à travers la presse et des masterclasses pour des family offices, wealth managers et écoles; de l’art (Pop-up museum, Digital tour Let’s dance for Peace, Phil-Auction®) ainsi de la slow fashion depuis 2010 avec notre nano marque Ezor©.

Ce projet soutient environ 350 personnes, y compris des élèves de l’enseignement de la seconde chance, des groupes de femmes et des familles vivant sous le seuil de pauvreté. L’objectif principal est de soutenir SISP Inde et de sensibiliser la Belgique aux problématiques Nord-Sud. En Inde, une approche multidimensionnelle est adoptée, se concentrant sur : La formation et l’autonomisation psychosociale des jeunes. Le soutien aux familles grâce à l’accès à de l’eau potable, à la formation sociale, aux soins de santé et aux soins des plaies. La création d’un atelier social employant une dizaine de femmes. En Belgique, l’accent est mis sur la collecte de fonds, la participation à des conseils communaux de coopération au développement (GROS) et la publication d’un journal trimestriel, « Krokantje ». Depuis sa création, SISP Inde a permis à des centaines de jeunes de poursuivre leurs études et de s’intégrer avec confiance dans la société indienne complexe. Les familles, les veuves et les femmes isolées ont été mieux équipées et soutenues par SISP, leur permettant ainsi de sortir de la pauvreté extrême. SISP est solidement intégré dans la communauté locale, collaborant étroitement avec les autorités, la police, les écoles et les organisations sociales, sans distinction de religion ou de caste, et en mettant un accent particulier sur les filles et les femmes.

Le projet "Reaching Street Children through Street Presence" vise à mettre en place un filet de sécurité à Bangalore et dans ses environs afin d'assurer le bien-être des enfants à risque qui ont le plus besoin de soins et de protection. 

Voici les activités et les résultats obtenus au cours de l'année écoulée. 
1. Présence dans les rues 
2. Sauvetage d'enfants 
3. Mesures de réhabilitation 
4. Activités de sensibilisation et formation
5. Implication des bénévoles
6. Mise en réseau et plaidoyer

Nous poursuivons notre mission de soins et de protection des fillettes et d'autonomisation des travailleurs domestiques. Les habitants de Bangalore ont connu de nombreux problèmes de santé après l'affaire Corona, et nous n'en avons pas été épargnés.  Cependant, nous gardons nos enfants en bonne santé et nous les maintenons en bonne santé, sans aucun problème de santé majeur. Même si nous prenons le plus grand soin des enfants, nous ne pouvions pas les gérer sans qu'ils tombent malades, car ils sont intéressés par l'école. Dès qu'ils ont un rhume ou de la fièvre, nous leur donnons un traitement immédiat et les gardons en bonne santé. Parfois, nous devons les emmener à l'hôpital pour les soigner.